Les meilleures destinations touristiques dans la péninsule de Kii au Japon

La péninsule de Kii, qui englobe les préfectures de Mie et de Wayakama, est un trésor de beauté naturelle situé au cœur de Honshu, la plus grande île du Japon. Cette région offre une pléthore d’activités pour les amateurs de plein air, ce qui en fait une destination idéale pour les aventuriers et les amoureux de la nature. La plongée, le cyclisme et les randonnées dans des paysages époustouflants ne sont que quelques-unes des activités qui peuvent être pratiquées dans la péninsule de Kii. Vous trouverez ci-dessous plus d’informations sur les meilleures destinations pour un premier voyage dans la péninsule de Kii.

​Le Centre du patrimoine mondial de Wakayama

Le Centre du patrimoine mondial de Wakayama s’avère être une ressource informative et utile pour les randonneurs qui explorent la région de Kumano. Situé à proximité du grand sanctuaire vénéré de Kumano Hongu Taisha, le centre offre une multitude de documents qui peuvent être consultés par les visiteurs. Il abrite notamment une réplique de mandala, qui donne un aperçu des pratiques cultuelles traditionnelles de la période Heian dans le sanctuaire. Le Centre du patrimoine mondial de Wakayam dispose également d’une boutique de souvenirs pratique pour les randonneurs qui souhaitent acheter des articles nécessaires. Si vous êtes un fanatique de randonnées et de trek, passer par une agence locale francophone au Japon est la meilleure option pour planifier votre voyage.

​Le chemin de pèlerinage de Kumano Kodo

Le chemin de pèlerinage de Kumano Kodo est une série d’itinéraires classés par l’UNESCO qui mènent à Kumano Sanzan, un groupe de sanctuaires et de temples vénérés situés au Japon. Les chemins connus sous le nom de Kodo sont utilisés depuis plus de 1 000 ans et tirent leur nom de l’expression « anciennes voies », ce qui en fait un point de repère ancien et significatif d’une grande importance historique. Les chemins de pèlerinage relient les sanctuaires Shinbutsu-shugo qui mêlent à la fois bouddhisme et shintoïsme. Ces sentiers offrent un voyage profondément spirituel à ceux qui choisissent de les parcourir.

​Les onsen de Yunomine et de Kawayu

Nichés dans la partie sud du pays, les onsen de Yunomine et de Kawayu sont reconnus en tant que sources d’eau chaude parmi les plus remarquables du Japon. Parmi elles, Yunomine Onsen se distingue comme l’une des plus anciennes et des plus réputées du Japon, avec une histoire riche et fascinante. Pour profiter pleinement de cette charmante destination, les bains publics et le Tsuboyu, classé au patrimoine mondial de l’humanité, sont recommandés. L’attrait de ces onsen à couper le souffle a attiré des visiteurs du monde entier à la recherche d’une évasion rajeunissante loin du stress de la vie quotidienne.

​Kushimoto

Kushimoto, situé sur la côte pacifique, est un site de plongée unique qui séduit aussi bien les novices que les plongeurs chevronnés à la recherche d’une aventure sous-marine. La région est connue pour sa grande variété de faune et de flore marines, allant de l’envoûtant poisson clown aux étonnantes limaces de mer bioluminescentes, qui ajoutent une touche de mystère à l’exploration. Les plongeurs peuvent profiter de l’expérience en tout confort, grâce aux combinaisons étanches fournies par le centre, ce qui garantit une plongée agréable quel que soit le temps hivernal.

​Les rochers Oniga-jo et Shishi-iwa

Les rochers Oniga-jo et Shishi-iwa sont deux formations géologiques impressionnantes que l’on trouve dans la préfecture de Mie. Les rochers Oniga-jo, qui doivent leur nom à la créature mythologique japonaise « oni », s’étendent sur un kilomètre le long de la mer Kumano-nada. Pour découvrir les formations rocheuses brisées, les visiteurs peuvent emprunter le sentier qui a été taillé dans la falaise. La main courante le long du sentier assure la sécurité tout en permettant d’admirer le paysage à couper le souffle. La formation rocheuse Shishi-iwa en forme de lion domine l’exquise plage de Shichirimihama.

​Le grand sanctuaire de Kumano Nachi Taisha

Le grand sanctuaire de Kumano Nachi Taisha est une étape importante pour ceux qui empruntent la route de pèlerinage de Kumano Kodo. Le complexe comprend un ensemble de bâtiments magnifiques, dont l’impressionnant temple Nachisan Seiganto-ji. Il s’agit d’une magnifique pagode à 3 étages, avec en toile de fond la plus haute chute d’eau du Japon. Le complexe de temples a été construit à côté de la chute d’eau, qui servait à l’origine de lieu à caractère sacré qui renforce l’impression générale d’importance historique.

​Le grand sanctuaire de Kumano Hayatama Taisha

Situé à l’endroit où la rivière Kumano-gawa se jette dans l’océan Pacifique, le grand sanctuaire de Kumano Hayatama Taisha est une merveille architecturale et historique qui attire des visiteurs du monde entier. Bien que ce sanctuaire soit le plus accessible des trois grands sanctuaires, sa beauté n’a rien à envier à celle de ses homologues. En effet, il abrite un magnifique arbre Nageia Nagi, vieux de plus de 1 000 ans, qui souligne le lien spirituel étroit entre la région et la nature.

​Shirahama

Shirahama, située sur la côte sud de Wakayama, est une charmante station balnéaire et un point de départ idéal pour explorer la péninsule de Kii. Bien que la ville soit compacte, le meilleur moyen de découvrir sa beauté est le vélo. Certaines parties du terrain peuvent être vallonnées et difficiles à parcourir, mais un vélo électrique peut être aisément emprunté pour faciliter la route et atteindre le sommet de la colline. Plusieurs rochers côtiers étonnants méritent d’être découverts à Shirahama, notamment l’île Engetsuto et ses couchers de soleil éblouissants, et la falaise rocheuse Sandanbeki.

Les armes japonaises : histoire et traditions samouraïs

Le Japon est une destination à part. Alliant avec talent modernité et passé, paysages incroyables et villes exceptionnelles, le pays possède une culture et une histoire unique. Les samouraïs sont une des images majeures du pays du soleil levant et leur armement a su envoûter de très nombreux curieux.  Avant de poser les pieds dans le pays, pourquoi ne pas tenter d’en savoir plus sur les mythiques armes de ces héros locaux ?

À la découverte du samouraï

On a tous entendu parler de cet homme d’armes qui a régné en maître sur le territoire durant plus de 700 ans. Ce guerrier gentilhomme a fait son apparition au Xème siècle. D’abord vassal d’un chef militaire, il devient de plus en plus puissant.  Il participe à de très nombreuses guerres féodales et se forge une réputation légendaire. À l’époque Edo, la fonction perd de son importance militaire. Le samouraï devient un chevalier plus polyvalent qui peut prendre en charge la culture artistique. Mais même si la fonction guerrière de ce chevalier s’est effacée, le samouraï a continué à fasciner. D’abord dans son propre pays, il est devenu une sorte de légende que l’on retrouve dans de très nombreux récits et œuvres d’art. Puis ce héros a traversé les frontières et est devenu l’image même du guerrier japonais :  fier, fort et intransigeant.  Un magnifique musée lui est dédié au cœur même de Tokyo. Avant d’en pousser les portes, initiez-vous au non moins célèbre armement de ces guerriers légendaires. Impossible en effet de parler des samouraïs sans mentionner leur armement.

Les armes traditionnelles   : les sabres

On connaît tous le fameux katana, ce sabre fut en effet l’arme de prédilection de ces chevaliers. Sa forme courbée, sa finesse et sa longueur (autour de 60 cm) en font une arme redoutable. Il fut utilisé à plusieurs fins  : arme de taille, arme d’estoc et arme d’apparat. Ce sabre est porté dans un fourreau, le Saya, confectionné en bois de magnolia laqué. Les chevaliers s’entrainaient à son maniement avec un sabre en bois, le bokken ou en bambou le Shinai. Les pratiquants de kendo font toujours usage du Bokken

Ce sabre est devenu une arme majeure au fil du temps. De nombreux forgerons sont devenus célèbres en créant des armes fabuleuses, comme par exemple, Muramasa ou Masamune. Ce sabre est à lui seul l’image même du samouraï.

Mais il n’est pas la seule arme employée par ces chevaliers mythiques. Le Tachi est également un sabre très connu de la tradition japonaise. Généralement, cette arme d’une longueur de 70 cm était portée lorsque le samouraï se déplaçait à cheval. Deux types de Tachi coexistent : l’arme de guerre, le Jintachi, et l’arme utilisée lors des cérémonies à effet décoratif, le Kazaritachi. On considère que cette arme fut l’ancêtre du katana. Il fut l’arme de prédilection des cavaliers jusqu’au XIIIème siècle.

Autre sabre faisant partie de l’armement du samouraï, le Wakisashi a une longueur de 30 à 60 cm. Il est bien souvent assimilé à un poignard. Utilisé avec le katana, il forme le Daisho. Il pouvait être porté par les riches marchands contrairement au célèbre sabre, réservé aux samouraïs. Le Wakisashi est l’arme la plus utilisée lors de la cérémonie du Seppuku (incision ventrale visant à se faire pardonner ses péchés). Ce petit sabre fut interdit en 1876. De nombreux samouraïs se sont alors suicidés pour montrer leur mécontentement.

Le Nodachi est un sabre long (entre 1 et 1,5 m). Il était principalement porté par les bushi. De par sa grande taille, l’arme était réservée à un usage extérieur. On l’employait contre les chevaliers.  Une légende raconte qu’il était possible de couper cheval et cavalier d’un seul geste   ! Mais la grande taille du Nodachi en fait une arme très difficile à manier. Les guerriers ont rapidement préféré employer les Naginata ou Nagamaki.

Les lances des samouraïs

Épée à double tranchant, le Tsurugi était une lame courte, principalement utilisée au cours du XIIème siècle. On connaît ce type d’arme grâce à l’un des trois trésors du Japon : le Kusanagi no Tsurugi, encore utilisé actuellement pour la cérémonie du sacrement de l’empereur.

Le Naginata est une arme d’hast. On en retrouve les premières traces au Xème siècle. Cette lance présente une terminaison courbée offrant une lame particulièrement tranchante. Elle est utilisée par les guerriers à cheval mais également les moines-guerriers, les femmes des seigneurs ou encore les gardiennes des gynécées. Elle n’est donc pas une arme réservée aux samouraïs.

Autre lance, le Yari pouvait atteindre 6 mètres de long. La lame pouvait avoir différentes formes (droite, en croix, à double tranchant…). Le Yari est encore aujourd’hui connu pour être une des armes les plus mortelles de chevaliers japonais. Sur un champ de bataille, elle permettait de tenir éloigné l’ennemi.

Les autres armes utilisées par les samouraïs

Les samouraïs pouvaient aussi employer une lourde hache, le Masakari. Celle-ci pouvait peser 4 kg pour une longueur d’1,2 m.  Elle fut principalement utilisée durant l’époque médiévale. Certains exemples montrent une pique placée en haut du manche. Les coups directs portés avec cette pique étaient redoutables pour transpercer les armures. Le Masakari demandait une connaissance pointue pour être bien utilisée. Les samouraïs les plus doués étaient particulièrement estimés.

Voilà pour les principales armes utilisées par les samouraïs. Mais le Japon abrite bien d’autres guerriers et parmi ceux-ci les ninjas ont aussi su se faire une réputation inégalée. Ces soldats de l’ombre possèdent une arme redoutable qui fut de temps en temps employée par les samouraïs   :  le Yumi. Il s’agit d’un arc de très grandes dimensions (de 2 à 4 mètres). Son utilisation était là encore réservée à l’extérieur et son maniement restait très difficile. Tous les chevaliers n’étaient pas des utilisateurs chevronnés de Yumi  !  On l’employait beaucoup à cheval lors des combats. Les chevaliers qui maitrisaient son maniement étaient considérés comme des combattants de haut rang. Fabriquée en bambou et dotée d’une corde en soie, cette arme pouvait présenter différents aspects. Une des flèches utilisée avec cet arc possédait un sifflet pour terrifier les ennemis lorsqu’elle était lancée.

Dernières armes bien connues des fans de tradition japonaise : les Shurikens. Ce sont de petits projectiles présentant différentes formes. On compte 4 types de ces redoutables armes, chacun utilisé en particulier par un clan de samouraï. On les retrouve aujourd’hui associées aux ninjas.

L’utilisation des pockets wifi au Japon : que faut-il retenir ?

L’accès à un réseau internet est presque une nécessité pour s’informer, communiquer et se divertir. Les moyens d’accès à une connexion internet sont multiples et varient d’un pays à un autre. Au Japon, les pockets wifi sont l’un des moyens les plus utilisés.

Ils sont bien plus avantageux que les wifi public et d’autres moyens d’accès à internet. Découvrez l’essentiel à retenir sur les pockets Wifi au Japon !

Les pockets wifi au Japon : de quoi s’agit-il ?

Le Japon est l’une des puissances numériques du monde. Elle fait partie des nombreux pays dans lesquels internet est nécessaire voire indispensable pour vivre. L’achat d’un produit, les transactions bancaires, la réservation d’un hôtel et bien d’autres activités se font pour la plupart du temps en ligne.

L’accès à la connexion internet se fait généralement grâce à des pockets wifi. Ce sont de petits boitiers munis d’une carte SIM qui se connectent à des réseaux mobiles. Ils émettent des signaux Wifi qu’on peut capter sur des appareils électroniques (smartphones, ordinateur, tablette, etc.).

Les pockets Wifi au Japon ne sont rien d’autre de petits modems de poche utilisables à tout instant. Disposer de son propre pocket permet de bénéficier d’une excellente connexion internet sécurisée.

C’est un outil qui permet de répondre au défi de la cybersécurité au Japon. Les études récentes ont démontré que plus de 42 % des internautes japonais ont déjà été victimes d’une forme de cybercriminalité. Le poids et la taille de ces appareils sont un véritable atout.

Vous pouvez facilement les glisser dans votre poche pour vos déplacements. Ils sont généralement équipés d’une batterie principale et d’une autre batterie de secours. Vous disposez d’une autonomie moyenne de 12 heures après l’avoir chargé.

Pourquoi utiliser un pocket Wifi plutôt qu’un Wifi public ?

Au Japon, les wifi publics font aussi partie des moyens répandus pour se connecter. Les cafés, les grands magasins, les aéroports et bien d’autres enseignes offrent un accès à une connexion internet gratuite. Cependant, les wifi publics ne sont pas toujours sécurisés. Leur utilisation présente des risques notamment sur le plan de la sécurité.

Les pockets Wifi sont de meilleures alternatives pour assurer la sécurité d’une connexion internet. Ils permettent de protéger ses données personnelles contre les cybercriminels. Par ailleurs, ils permettent de bénéficier d’une connexion de bonne qualité. Contrairement aux réseaux publics, les pockets wifi offrent une connexion 4G d’excellente qualité avec une vitesse très appréciable.

Ils peuvent alimenter de nombreux appareils électroniques en connexion internet simultanément. L’utilisation de tous ces appareils n’impacte pas la qualité de la connexion internet. Elle demeure toujours bonne. Vous pourrez vous déplacer avec votre pocket n’importe où et n’importe quand.

Quelles sont les meilleures offres de pockets wifi au Japon ?

Il existe de nombreuses offres de pockets wifi au Japon. Elles proposent d’intéressantes options qui permettent de se connecter facilement au réseau internet. Le Ninja Wifi est l’une des meilleures offres dans ce pays. Avec un excellent débit de la connexion internet, les données offertes sont illimitées après chaque abonnement.

En dehors du Ninja Wifi, Vivre au Japon fait partie des meilleures offres de pocket wifi. La vitesse de connexion est de 75 Mbps en téléchargement et 25 Mbps en chargement. Par ailleurs, l’interface est disponible en Japonais, en Anglais et en Français.

Il existe d’autres offres très intéressantes. Il s’agit notamment de l’Air’s, G-call, Global Advanced Communication et JAL ABC Rental Phone. Ces offres sont variées et adaptées à différents besoins de connexion internet. Les pockets Wifi sont les meilleures options pour avoir accès à internet au Japon.

Faites un choix avisé pour votre prochain séjour dans ce pays !

Katana : qu’est-ce que c’est et comment trouver le meilleur ?

Si vous êtes féru de tout ce qui touche à la culture japonaise, alors vous avez sûrement déjà entendu parler du Katana. Cette arme blanche est propre au pays du Soleil-Levant. Qu’est-ce qu’un katana et comment trouver le meilleur ?

Katana : qu’est-ce que c’est ?

Le Katana est le sabre originaire du Japon. Particulier par sa longueur excédant généralement les 60 centimètres, il est courbé et réputé extrêmement tranchant. Outre sa longueur, le Katana est aussi connu comme l’arme de prédilection des samouraïs.

Contrairement aux idées reçues, le katana ne désigne pas un seul sabre, mais une catégorie de sabres. Cette catégorie est donc composée de différentes lames japonaises. Vous avez entre autres le Shinken et le Iaïto.

Comment trouver le meilleur katana ?

Le sabre japonais regroupe bon nombre de subtilités. Sa possession est interdite, voire illégale, sauf pour motifs légitimes (sport) et son choix demande de considérer quelques critères. Certains sont cependant plus importants que d’autres.

Le tranchant

Le Katana est une arme faite pour trancher. Il est donc normal que ce critère soit important. Vous avez le choix pour la longueur du tranchant, mais aussi pour sa présence. En effet, en fonction de l’usage prévu, vous pouvez avoir besoin d’un katana non tranchant. Ce dernier est souvent réservé aux entraînements dans les clubs d’arts martiaux.

La longueur

Même si le katana fait à peu près 60 cm, il est possible d’avoir des lames plus longues. Cela dépend essentiellement de votre technique de maniement. Cependant, vous devez garder à l’esprit qu’un Katana plus long peut s’avérer plus lourd. Même s’il est manié à deux mains, il peut vous donner du mal.

Le matériau

Il s’agit de l’aspect qui conditionne la durabilité du katana. La différence majeure réside dans la teneur en carbone de l’acier utilisé. Plus celle-ci est élevée, plus le sabre est résistant. Toutefois, pour éviter l’usure, vous devez veiller à un entretien régulier en fonction de votre utilisation.